Festival Equilibre et Gourmandise – Brides les Bains

Elijence participe à son 1er Festival de Brides les Bains pour 2 jours d’ateliers-jeux sur les Arts de la table, et le dressage de table.
L’homme se nourrit par besoin mais la dimension plaisir est  essentielle  pour manger sainement et équilibré. Si l’essentiel est dans l’assiette,  la mise en place qui précède  la prise du repas est à soigner.  Les cinq sens sont en éveil avant même d’avoir mis la première nourriture en bouche.
Une belle table dressée flatte l’œil, le toucher d’une nappe bien repassée laisse présager un repas agréable. Quant au tintement des verres propres et élégants, il annonce la fête ! Sans oublier bien sûr le sens de l’odorat,  peut-être de l’argenterie fraîchement astiquée… Une fois la nourriture dans l’assiette, le fumet de la bonne chair et le goût sont enfin comblés.
Jeu :Dans notre atelier ART DE LA TABLE, nous proposons un jeu où il est question d’erreurs volontaires de dressage de table. Ensemble et en toute convivialité, dressons parfaitement notre table à la française et découvrons des anecdotes amusantes qui se cachent derrière, notamment une  ordinaire fourchette, un banal cure-dent ou encore une serviette de coton.
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Retrouvez sur notre chaine youtube, la vidéo réalisée lors de ce festival   https://www.youtube.com/watch?v=IU9a62VOfnY
Nous vous donnons rendez-vous sur le site d’Elijence pour découvrir nos savoirs-faire en matière de dégustation vin de Bourgogne
 
 

Bien recevoir / Les Automnales de Pommard

En octobre 2016, la Confrérie du Bailliage de Pommard a proposé un week-end « oenoludique », sous forme d’ateliers et d’animations, pour petits et grands, dont l’objectif a été de permettre de découvrir en famille Pommard et le long processus qui conduit de la vigne au fameux vin de Pommard.
Elijence était présent en animant le samedi des ateliers sur le dressage de table, ou comment faire une table qui mette en valeur les vins. Le dimanche nos ateliers avaient pour thème le savoir déguster le vin. Tout un art !
 
Les Automnales de POMMARD 2014 poml (19)Les Automnales de POMMARD 2014 poml (8)Les Automnales de POMMARD 2014 poml (4)

Astuces Vin rouge sur du poisson !

Il est des habitudes tenaces, des accord mets/vins tellement entendus que personne n’aurait outrecuidance de venir bousculer des traditions.
Et pourtant… Quelle fraîcheur , que de découverte enthousiasmantes que de changer. A tout le moins, d’essayer d’autres accords.
 
La finesse du Pinot Noir, permet parait-il de marier avec goût le vin rouge et le poisson.  Surtout si le cépage est planté  en Bourgogne. N’excluons pas celui de Champagne, d’Alsace, ou encore du Jura. …
Plus généralement, tous les vins fondus s’associent  avec le poisson à la condition que ses tanins soient fondus, voire quasi lissés.
Voilà une astuce/ découverte que vous pourrez retrouvez lors de nos ateliers de COACHING OENOLOGIQUE

En attendant les premiers crus / Mâconnais

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La Roche de Vergisson fait face à la Roche de Solutré : « deux navires pétrifiés surplombant une mer de vignes », écrivait Alphonse de Lamartine.
22 climats de Pouilly-Fuissé devraient être bientôt classés en premier cru. Un évènement que les viticulteurs locaux attendent avec impatience.
C’est l’effervescence dans les quatre communes de l’illustre appellation de Pouilly-Fuissé. La démarche de classement en premier cru de 22 climats est très bien engagée, même si d’ultimes tractations sont prévisibles. Une élévation qui symbolise aussi la montée en puissance du terroir du Mâconnais. Il était temps de reconnaître officiellement que, sur ces terres, le chardonnay affiche une véritable grandeur ; que les meilleurs blancs d’ici rivalisent sans peine avec les crus de la Côte de Beaune.
Avec leur robe qui oscille de l’or pâle au doré soutenu, ces vins riches et complexes, d’une grande finesse, offrent souvent une superbe minéralité. Les cuvées les plus complexes, issues de vinifications parcellaires, sont fermentées et élevées en pièces, à la bourguignonne, parfois assemblées avec des élevages en cuves. Des méthodes similaires à celles appliquées en Côte-d’Or… sauf qu’ici les très belles opportunités affichent des prix bien plus sages.
L’appellation Pouilly-Fuissé se situe dans un mouchoir de poche, sur 10 kilomètres de long au sud-ouest de Mâcon, entre les villages de Vergisson, Solutré-Pouilly, Fuissé et Chaintré. 780 hectares de vignes qui se déploient dans un paysage grandiose, structuré par l’enfilement des fameuses roches de Vergisson, de Solutré et du Mont Pouilly. Pour découvrir la mosaïque de terroirs qui fait la richesse de ce vignoble, suivez l’exemple d’un ancien président, et grimpez donc au sommet de la Roche de Solutré. La vue est tout simplement imprenable.
Reflet de la multiplicité des terroirs, l’appellation Pouilly-Fuissé est découpée en de très nombreux lieux-dits, 217 très exactement. 52 de ces lieux-dits devraient constituer, sur 186 ha, les futurs 22 premiers crus. Quelques exemples : à Vergisson, Sur la Roche, En Ronchevat, La Maréchaude, Les Crays ; à Solutré-Pouilly, les secteurs de Vers Pouilly et d’Aux Bouthières ; à Fuissé, Le Clos, Les Brulés, Les Ménétrières, Les Vignes Blanches ; à Chaintré, Aux Quarts ou encore Le Clos Reyssier.
Pour évoquer tous ces lieux-dits, leurs propriétés topographiques, historiques, géologiques, leur exposition qui donnent des vins sensiblement différents, le mieux est bien évidemment de passer la porte des domaines, de s’installer avec les vignerons, verre en main. D’inoubliables dégustations vins de Bourgogne comparatives vous attendent.
 
Florence Bal

101ème édition du TASTEVINAGE

Vendredi 23 mars 2018 : 101ème édition du TASTEVINAGE au Château du Clos de Vougeot. En présence de Christine AVELIN, Directrice
Générale de FranceAgriMer,  220 jurés ont sélectionneé une le meilleur de la Bourgogne viticole.
Pendant près de deux heures dans le Grand Cellier du Château, vignerons, courtiers, restaurateurs, sommeliers, représentants de caves coopératives, présidents de syndicats viticoles,
partenaires de la filière vin, journalistes ont sélectionné 181 vins sur 557 vins dégustés. Ils se voient attribuer le label du TASTEVINAGE.
Organisée deux fois par an, la prochaine dégustation du label se déroulera le vendredi 7 septembre 2018 au Château du Clos de Vougeot
L’intégralité de la liste des lauréats est à consulter dès à présent sur le site : http://tastevinage.fr/
Retrouvez nos dégustation vin Bourgogne

LA BOURGOGNE ENTRE DANS SES GRANDS JOURS !!

LA BOURGOGNE ENTRE DANS SES GRANDS JOURS !!
Manifestation "Les Portes d'Or de la Bourgogne" organisee a Chablis dans le cadre de la 13eme edition des Grands Jours de Bourgogne, le 21 mars 2016 a la Maison des Vins de Chablis et Grand Auxerrois.© BIVB  Image & Associés 2
La 14e édition des grands jours de Bourgogne, salon unique au monde, se tient du 12 au 16 mars. Toute la planète des professionnels du vin se donne rendez-vous en Bourgogne pour découvrir le millésime 2016. Un événement qui se déroule tous les deux ans et au cours duquel les producteurs présentent leurs vins. Ce salon international à ciel ouvert permet aux prescripteurs et aux journalistes du monde entier de rencontrer, au cœur même du vignoble, les producteurs de Bourgogne.
Interview de Raphaël Dubois, viticulteur et président de l’association des Grands Jours de Bourgogne.
Elijence : qu’est-ce que les Grands Jours de Bourgogne ?
Raphaël Dubois : C’est un salon international à ciel ouvert pour un public de prescripteurs : importateurs, grossistes, agents, journalistes, sommeliers. Il existe d’autres salons internationaux type Vinexpo à Bordeaux ou Prowein en Allemagne à Düsseldorf. Les grands jours qui existent depuis 19992 c’est la version bourguignonne de Vinexpo ou Prowein. L’idée c’est de faire un salon à l’image des bourguignons. Ils ne sont jamais aussi forts et pertinents que dans leurs caves, dans leur village, dans leur élément en fait. Il y a 5 jours de dégustation qui correspondent aux 5 vignobles de Bourgogne (Chablisien et Auxerrois, côte de Nuits, côte de Beaune, côte chalonnaise et mâconnais). Nous voulons immerger les prescripteurs dans les vignes, au cœur de la production. Et puis promener les visiteurs au printemps dans notre vignoble inscrit au patrimoine de l’UNESCO, c’est aussi présenter la Bourgogne sous ses meilleurs atours. L’objectif des grands jours c’est bien sûr de développer les marchés et faire des affaires.
Elijence : concrètement, que va-t-il se passer dans notre région ?
Raphaël Dubois : 14 dégustation sur 10 lieux différents. La quasi-totalité des appellations bourguignonnes sera représentée. Certaines dégustations sont regroupées sur un même site.
Elijence : quelles sont les nouveautés de cette 14e édition ?
Raphaël Dubois : certaines dégustation vin de Bourgogne ont été inversées dans le planning, exemple avec les appellations de la côte de Nuits dégustées le vendredi au lieu du mardi. Le site internet des grands jours a été entièrement revu : www.grands-jours-bourgogne.com L’Accès aux sites a été simplifié. Il y a également de nouveaux lieux de dégustation au cœur des vignes : la Léproserie de Meursault, récemment rénovée, accueille la dégustation « Trinquée de Meursault ». Le Château de Gilly-les-Cîteaux, avec « Quatuor en harmonie », propose les vins des appellations Nuits-Saint-Georges, Chambolle-Musigny, Morey-Saint-Denis et Vougeot. Une dégustation consacrée aux vins Bios aura lieu à Rully.
Elijence : combien de visiteurs attendez-vous ?
Raphaël Dubois : 2 500 prescripteurs dont 1 060 n’avaient encore jamais participé à l’évènement, seront reçus par 1 087 vignerons et viendront découvrir près de 10 000 vins en seulement 5 jours !
50 pays représentés : 1er Italie, puis, USA, Belgique, Chine, Allemagne, Japon et UK
29 % importateurs, 22 % cavistes, 9 % restaurateurs et agents commerciaux, 7 % sommeliers et journalistes
Elijence : quel est le budget de cette manifestation ?
Raphaël Dubois : Le budget de coordination des Grands Jours s’élève à 520 000 € HT auquel il faut ajouter les budgets de chaque dégustation entre 180 à 200 000 € pour les 14 manifestations soit 700 000 à 720 000 € HT.
Elijence :  les Grands Jours s’ouvrent dans quel contexte économique pour la Bourgogne ? quelle est la santé des vins de Bourgogne ?
Raphaël Dubois : la santé des vins de bourgogne est bonne. En revanche, la difficulté importante de notre région c’est d’avoir du vin à vendre !  Il est vrai que le beau millésime 2017, totalisant 1,509 million d’hectolitres, affiche un volume de production plus normal pour la Bourgogne, même si quelques appellations sont encore en deçà des moyennes. Cependant nous n’allons pas retrouver tout de suite un marché normal car nous allons mettre en vente le millésime 2016 marqué par un fort épisode de gel. L’arrivée sur les marchés, après le printemps, des premières bouteilles du millésime 2017 permettra, en partie, de compenser le manque de vins pour certaines appellations du millésime 2016. Les 6 premiers mois de transactions pour la campagne 2017-2018 (août à fin janvier) affichent un très beau volume d’échanges, au-dessus de la moyenne des 10 dernières campagnes. Cela redonne des couleurs aux sorties de propriété, en retrait sur la dernière campagne 2016-2017 (- 9 % / 2015-2016), mais qui se sont toutefois maintenues au-dessus du volume de la récolte 2016. Les vins de Bourgogne maintiennent leur part de marché en France, où ils réalisent 51 % de leurs ventes. Il serait souhaitable que les récoltes 2018, 2019 soient satisfaisantes en volume à l’image de 2017 pour permettre à la Bourogne de conserver ses parts de marché.
La Bourgogne a un atout : c’est la capacité à proposer une gamme d’appellation très large avec des appellations qui ont de très bons rapports qualité/prix, exemple : la côte chalonnaise.
Elijence : quel est pour vous votre « plus grand jour de Bourgogne » ?
Raphaël Dubois :  mon plus grand jour c’est celui à venir, que ces grands jours de Bourgogne soient un succès auprès des visiteurs.
 
Chiffres clé de la Bourgogne viticole
Production moyenne 1,34 million d’hectolitres / an
Surface : 29 mille hectares
186 millions de bouteilles vendues / an en moyenne dont 49% à l’export
Chiffre d’affaires : 1,48 milliards d’euros
2,8 % de la production française de vins
0,4 % de la production mondiale de vins
3900 domaines viticoles
288 Maisons de négoce
16 Caves Coopératives
 

VineaSpa sur la côte

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Après un an de travaux et trois ans de réflexion, avoue Lucie Mongeard, directrice de l’établissement, le nouvel espace bien-être du Richebourg hôtel 4* et restaurant à Vosne-Romanée  offre un spa à la fois VIP et authentique sur la côte vititocle.  Construit sur 2 étages, sur 450 m2  VineaSpa  possède son entrée indépendane. Avec une large amplitude, tous les caprices sont permis.
L’inauguration du mardi 06 février fut un franc succès qui laisse présager d’une belle réussite pour cette création dédiée au bien-être !
 
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Coup de coeur pour le Hammam, et la douche expérientielle… face à une large baie vitrée qui donne sur le jardin. Cocon et espace ! Sans oublier une terrasse solarium où on imagine déjà rester un peu trop longtemps.
Le restaurant Le Vintage propose tout naturellement des formules bien être & gourmande, en lien avec le spa ! Question d’harmonie  au sein du Domaine Mongeard Mugneret.
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La Saint Vincent tourne au sud direction Saint Véran !!

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Pour la 1ère fois de son histoire,  la Saint Vincent tournante prend ses quartiers dans l’appellation Saint Véran. La 74e édition se tiendra les 27 et 28 janvier 2018 au cœur du village de Prissé dans le Mâconnais. Prissé est l’un des 7 villages producteurs de l’AOC Saint-Véran avec Davayé, Chânes, Chasselas, Leynes, Saint-Vérand et Solutré-Pouilly. Créé en 1971, l’AOC Saint Véran est l’appellation la plus au sud de la Bourgogne, aux confins de la Bourgogne et du Beaujolais. Les liens sont forts d’ailleurs avec le proche Beaujolais. Il ya quelque décennies de cela, c’est encore le Gamay qui recouvrait les coteaux de cette région. Mais aujourd’hui le roi chardonnay brille de mille feux et le cru Saint-Véran arbore fièrement ses 726 hectares de production, et ses nombreux climats dont certains méritent selon les vignerons d’ici le classement en 1er cru. Au même titre d’ailleurs que le grand frère voisin Pouilly-Fuissé, qui devrait revendiquer ses 1er crus d’ici un ou deux millésimes.  Saint-Véran ambitionne également le classement de plusieurs climats, le dossier a été lancé en 2010 auprès de l’INAO (Institut National des Appellations d’Origine).
En attendant, Saint-Véran accueille dignement la Saint-Vincent et confirme son parfait ancrage en Bourgogne et ses capacités d’appellation mature et responsable.
La fête promet d’être belle sous « les couleurs du blanc » la devise de l’appellation. Les meilleurs terroirs seront dégustés dans les 12 caveaux dispersés sur Prissé. La fête débutera bien évidemment tôt samedi matin par le traditionnel défilé de toutes les sociétés viticoles avec bannières et statues de Saint-Vincent. Et puis, la journée sera ponctuée de la cérémonie toujours émouvante et forte de l’intronisation des anciens vignerons. Les quelques 40 milles visiteurs pourront ensuite déambuler d’un caveau à  l’autre pour déguster les différents cuvées de Saint-Véran, chaque village sera représenté.
Nous parlons bien sûr de dégustation, pas d’ivrognerie. Sécurité oblige, chaque visiteur dispose d’un kit avec 7 tickets – pas plus – (15 euros) pour découvrir les vins du cru, et à chaque fois il s’agit de doses de dégustation. Le dossier sécurité de près de 200 pages atteste du sérieux de l’organisation. D’ailleurs les forces de l’ordre veilleront au grain aux abords de la fête. Il est d’ailleurs préférable de venir en train et de prendre les navettes prévues à cet effet.
Une nouveauté pour cette 74e édition, la Saint-Vincent sera parrainée en la personne du chanteur et guitariste franco-gallois, Michael Jones, en association avec les Restos du Cœur, dont une partie des bénéfices leur sera reversée.
L’un des thèmes de cette Saint-Vincent sera le développement durable. Concrètement, en plus des milliers de fleurs en crépons traditionnelles qui orneront le village, la décoration sera réalisée à partir de matériaux recyclables.
Bonne fête de la Saint Vincent ! Et Retrouvez nos dégustation vin Bourgogne

Elijence art de vivre à la française

 
 

Sélection Saint-Véran 2015 et 2016

Températures de service : 9 à 11 °C pour un jeune, 11 à 13 °C pour un vin plus mûr.
Accords Mets/vins : Escargots à la bourguignonne, Homard, Carpaccio de Saint-Jacques, Pavé de
saumon, Viandes blanches en sauce, Filet mignon de veau, Bréchets de poulet à la Bressane,
Espuma d’avocat et saumon fumé, bar sur fondue de poireau et sauce épicée, foie gras poêlé aux poires, noix de veau braisée, paupiettes de filet de sole, andouillette à la crème, fromages de chèvre.
 
Saint Véran 2016
saint-véran-2015-domaine-de-la-creuze-noireUn nez flatteur de poire, d’abricot et des notes briochées. En bouche une belle vivacité et du volume,  une agréable finale fruitée.
Domaine de la Creuze Noire
71570 Leynes
Tél : 03 85 37 46 43
Prix: 8,70 €
 
Saint-Véran Le Clos des Poncetys 2015
domaine-poncetys-saint-veran-le-clos-des-poncetys-G_59cba0142dbadDes arômes de fruits d’été bien mûrs : pêche, abricot et une élégante note de minéralité.
Au palais, beaucoup de générosité, d’onctuosité et une présence de fruits frais.
Domaine des Poncetys
71960 Davayé
Tél : 03 85 33 56 22
Prix: 15 €
 
Saint Véran 2015
saint-veran-perraudUn nez fin d’abricot, de melon, fleurs blanches et des notes minérales.
Bouche fraîche et bien équilibrée.
Domaine Perraud
71960 La Roche Vineuse
Tél : 03 85  32 95 12
Prix: 15 €
 
Saint Véran la grande bruyère 2015
senaillet 2015Des arômes délicats de fruits secs et de fruits bien mûrs : pêche, poire, mangue.
En bouche, du volume et du fruit tout en fraîcheur.
Domaine de la Croix Senaillet
71960 Davayé
Tél : 03 85 35 82 83
Prix 15,70 €
 
 
Saint-Véran « Les Terres Noires » 2015
deux rochesNez agréable entre fleurs et fruits frais. La bouche est fraîche et pure avec des accents de minéralité. Finale mentholée revigorante.
Domaine des Deux Roches
71960 Davayé
Tél : 03 85 35 86 51
Prix: 13,40 €
 
 
Saint-Véran Grand Clos 2016 Tasteviné
photo_saint_veran_grandclos_tastevinageArômes élégants de fruits à chair blanche bien mûrs. Bouche ronde et suave avec une touche de fraîcheur en final.
Cave de Charnay Les Mâcon.
71850 Charnay-les-Mâcon
Tel : 03 85 34 54 24
Prix: 9,30 €
 
 
Saint Véran 2016
loic-martin-saint-veran-2015-324x810L’été se révèle au nez ! pêche, abricot, et puis des notes poivrées et de fleurs blanches.
Bouche volumineuse et précise avec une minéralité en filigrane. Belle longueur.
Domaine Loïc Martin
71570 Leynes
03 85 37 46 43
Prix : 8,70 €
 
Saint-Véran 2015
guerrin Nez élégant sur la fraîcheur des fruits d’été : pêche de vigne. En bouche, belle harmonie entre vivacité et corpulence.
Domaine Guerrin Gilles et Sylvie
71960 Vergisson
Tél : 03 85 35 80 38
Prix : 9,30 €
 
 
Saint-Véran cuvée tradition 2016
saint-veran-cuvee-tradition-176x500Des arômes de fruits exotiques et d’agrumes. Bouche pleine et franche, finale minérale.
Domaine de la Feuillarde
Prissé 71960 Tel : 03 85 34 54 45
Prix: 9,50 €
 
 
Saint-Véran la grande vigne 2015
saint-veran-la-grande-vigne-2015-blancNez frais de fruits jaunes et d’agrumes. Palais gourmand tout en rondeur et en fruit.
Domaine Chène
71 960 Berzé-la-Ville Tél.:03 85 37 65 30
Prix : 8,50 €
 
 
 
Saint-Véran Mathilde 2015
pts_20170220135859_850-3219050538        Nez floral et notes minérales. Bouche ciselée, harmonieuse et élancée.
Domaine de la Pierre des Dames
71960 Prissé
Tél. : 03 85 20 21 43
Prix: 13.30 €
 
Saint Véran 2015
Guegnon Raymond     Arômes mêlant les fruits mûrs d’été et les fleurs blanches avec une touche minérale. Palais raffiné, de la fraîcheur tout en souplesse. Belle finale fruitée.
Domaine Gueugnon Reymond
71850 Charnay-lès-Mâcon
Tél : 03 85 29 23 88
Prix: 9€
 

Bon cadeau pour Noel : Cours de cuisine en Bourgogne

 Cours de cuisine en Bourgogne

Retrouvez nos prestations dressage de table 

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Il court, il court… le temps. Pas le temps de tout faire, tout en essayant de tout faire. La frénésie comme mode de fonctionnement. On « fastfood », mais onprend des cours de cuisine. Un paradoxe ? Une évolution de la société qui a débuté voilà une vingtaine d’années. Cette tendance des cours de cuisine ne faiblit pas… Bien au contraire.

Chef cuisinier à domicile depuis 2006, Thomas Le Courbe porte un regard plein de promesses sur les cours de cuisine : « c’est sûr, il y a de l’avenir ». Et pour l’heure, la réalité ne le dément pas : les émissions de télé-réalité envahissent le PAF(*). Des boutiques de home-cooking « Ustensiles et préparations culinaires » s’ouvrent quotidiennement. Les offres de cours sont systématiquement proposées dans les hôtels-restaurants de haut standing.FAST OU SLOW FOOD ?
Nous courrons toujours autant. Voire plus ? Le fast a encore de l’avenir. En revanche, le slow food a de plus en plus d’adeptes. Les consommateurs se renseignent sur les produits qu’ils consomment. Après les scandales de la vache folle, de la grippe aviaire… une conscience du bien-manger s’est éveillée et plus récemment la fraude à la viande de cheval.
Un besoin de consommer autrement, notamment en se remettant au fourneau…
Comment expliquer autrement ce succès grandissant des cours de cuisine ? Jean- Paul Thibert, ancien chef étoilé à Dijon, pionnier dès les années 2000 des cours de cuisine: « Après les carottes râpées du supermarché en semaine, les gens ont besoin de redécouvrir le goût du produit vrai, de l’aliment originel qui respecte le terroir. Alors le weekend, on cuisine de bons petits plats pour ses amis et sa famille ».
Pour comprendre ce phénomène sociétal, retour dans le passé. En 68, l’heure n’est pas à cuisiner ustensiles à la main mais plutôt à créer une société différente, pavé à la main. Les femmes se sont retrouvées derrière des bureaux, et une fois rentrées au domicile, elles se retrouvaient quand même avec le tablier pour servir des repas non cuisinés par manque de temps. Résultat : la génération post 68 ne sait plus cuisiner. Il faut donc réapprendre auprès d’un chef ! Et la symbolique du chef est forte dans une société en mouvance perpétuelle, en quête de repères.
Elle en trouve dans cette identité du chef : patron d’une brigade, père spirituel qui inspire ses seconds.
Ce sont dans les grandes villes et leurs grands établissements étoilés que les premiers cours de cuisine ont vu le jour. En Bourgogne, la famille Lorain à Joigny inaugure les premiers cours dans les années 70. C’est dans les années 90 qu’ils se démocratisent grâce aux écoles hôtelières de la région. Le mouvement prend alors de l’ampleur avec les cours dispensés par les chefs dans leurs cuisines ou dans celles des particuliers. Depuis vingt ans, la tendance est allée crescendo. Un reflet de notre société en quête d’identité…NOUVEAUX REPÈRES
La cuisine de nos grands-mères était surtout dictée par la nécessité de nourrir la famille. Aujourd’hui, le consommateur retrouve le plaisir du goût à travers la gastronomie. D’après Stéphane Derbord, président des restaurateurs de l’UMIH (**), « la gastronomie est un moyen d’expression, accessible à tous. La gastronomie, c’est le partage des émotions ». Tout en gardant les repères d’hier, on va à la découverte de la nouveauté. La curiosité instaure un dialogue dans l’assiette. On ajoute un nouvel ingrédient dans la soupe d’antan et tout est différent. A Pernand-Vergelesses, Laurent Peugeot, chef étoilé du Charlemagne, mêle avec brio innovation et tradition. Vincent Bourdon, chef des OEnophiles, Thomas Le Courbe, ou l’étoilé de la Place Wilson à Dijon reconnaissent que « les émissions de téléréalité, c’est bien pour le métier. Ca remplit les écoles hôtelières ». Les téléspectateurs ont « envie de découvrir de nouveaux plats, de nouveaux ingrédients » renchérit Thomas Le Courbe. D’ailleurs, le chef du restaurant éponyme Stéphane Derbord ajoute « Les consommateurs ont du talent, de la créativité. Ils ne sont pas comme nous les pros, parfois enfermés dans des clivages traditionnels. Ils osent des accords ! Ils sont inventifs aussi parce qu’ils n’ont pas toujours le matériel nécessaire, alors ils improvisent. D’ailleurs moins bien ne veut pas dire moins bon ». Et du moment qu’il y a un « partage authentique entre amis, c’est bien là l’essentiel », martèle M. Stéphane Derbord. Des valeurs que partagent les chefs étoilés Cédric Burtin de l’Amaryllis à Chalon sur Saône et Jérôme Brochot, chef de son Hôtel-Restaurant Le France à Montceau-les-Mines.
RISQUE DE DÉRIVES
Également délégué régional des maitres cuisiniers de France, Stéphane Derbord met en garde sur les dérives de cette téléréalité qui « met en scène des émotions artificielles arrachées au candidat. La télé-réalité démocratise mais elle banalise aussi. Si la télé-réalité aboutit souvent à une démolition psychologique, un repas simple entre amis, c’est une construction qui amène à l’émotion partagée ».
Le chef des OEnophiles se positionne sur le même credo : « les métiers de la restauration restent des métiers difficiles. Moins qu’autrefois bien sûr, mais ce sont des métiers exigeants qui demandent beaucoup de travail ». De son côté Thomas Le Courbe déplore ce décalage entre pro et simili pro : « le métier de restaurateur n’est pas protégé, contrairement au CAP coiffure ! N’importe qui peut monter une cuisine à domicile et acheter des plats semi-préparés. » Comment ne pas être inondé entre les cours de cuisine- télé, les cours à domicile, les produits de supermarché et produits locaux, la multitude de labels. Comment s’y retrouver dans la patrie de la gastronomie ? Et pourtant, les Français ont de solides points d’ancrages. En effet, en France, « le repas fait partie de l’identité des Français», comme l’explique Jean-Robert Pitte (***). A telle enseigne que le repas gastronomique Français est inscrit depuis 2010 par l’UNESCO au patrimoine immatériel de l’humanité. La réponse du délégué régional des maitres cuisiniers de France est simple : « C’est à nous, professionnels, de guider, d’accompagner le consommateur. Le cap à tenir est le respect des valeurs humaines : le travail du producteur, des restaurateurs, la qualité du produit et le besoin du consommateur. »
 
LE MARCHÉ DU CHEF VINCENT BOURDON
Au cœur de sa cuisine professionnelle qu’il a privatisé le temps de ses cours, le Chef Vincent Bourbon du restaurant des OEnophiles à Dijon, transforme ses clients en une joyeuse brigade où tout le monde travaille ensemble à confectionner le repas de midi avec les produits achetés plus tôt aux Halles de Dijon.
UN BON MARCHÉ, C’EST
1 Savoir de combien de temps on dispose pour faire son marché
2 Aller au marché tôt pour avoir le choix. Ce qui n’exclut pas de faire quelques bonnes affaires si l’on ose négocier.
3 Prendre son temps pour faire le tour des étals et sélectionner 2 ou 3 marchands. Choisir des produits de saison : « ils sont bons et pas chers » martèle depuis 50 ans Bruno le maraîcher ! Une règle d’or : soyez curieux. Posez des questions sur la provenance de la viande, la date de pêche du poisson, le mode d’élevage de la volaille… La réponse va déterminer le mode et le temps de cuisson.
4 Comparer les prix et négocier Attention aux écarts de prix allant jusqu’à 25 % plus cher sans raison ! En revanche, si vous achetez votre viande chez un maître boucher, la hausse sera justifi ée !
DERNIER CONSEIL DE VINCENT
Restez simple dans le choix de vos produits. Puis travaillez-les le plus simplement possible. Votre viande, vos légumes n’en seront que meilleurs et plus esthétiques !
 
EN TOUTE INDEPENDANCE THOMAS LE COURBE, CHEF CUISINIER À DOMICILE
Tout a débuté dès l’enfance grâce à une grand-mère qui faisait mijoter toute la journée un plat au coin du fourneau à bois.
Ensuite, tout s’est enchaîné : apprentissage dès 16 ans, puis direction Toulouse pour se familiariser avec la cuisine du sud-Ouest. Il poursuit dans le bordelais à Saint-Emilion au côté de Philippe Estchebest, pour atterrir au Pavillon Le Doyen sur les Champs-Elysées, sous la direction de Christian Lesquer. Après une solide expérience qui a trouvé son aboutissement auprès des plus grands, Pierre Gagnaire, Alain Ducasse, Lameloise, Thomas le Courbe se met à son compte en 2006.
Plus de hiérarchie à subir, seul aux commandes, enfin indépendant, mais bien seul aussi pour décrocher les tous premiers clients. Si les débuts sont difficiles, le carnet de commande se remplit. La confiance s’installe et Thomas prend son envol. Il est heureux quand il officie chez son client : « Quand j’arrive chez la maitresse de maison, elle me confie sa cuisine. Le spectacle peut alors commencer : cuisine en direct avec des homards vivants, découpe, cuisson… tout s’enchaîne ». Les convives s’amusent et se régalent… Cette nouvelle manière de recevoir permet de faire la fête sans aucune contrainte : ni celle de faire les courses, ni celle de faire la cuisine, sans compter les restrictions des boissons alcoolisées.
presvert
DOMAINE DES PRES VERTS LE CHARME RAFFINÉ D’UN LOGIS INSOLITE : 100 % NATURE !
Une Cabane Spa avec jacuzzi privatif dans les arbres, une Roulotte très contemporaine, un Logis chic & nature, vous ne résisterez pas longtemps ! Ici, tout est simple. L’atmosphère rime avec « grande tranquillité, en toute intimité ». On vient s’y ressourcer au naturel. La couleur est végétale. Quelques touches de rouge pour l’énergie. Le bruit, celui de l’écoulement de l’eau. Les matériaux, la décoration chic & nature aux notes contemporaines… tout coule de source ! Lucie et Jérémy ont pensé leur demeure comme un hôtel pour la qualité du service – avec par exemple petit-déjeuner Bio & Terroir servi en chambre, jusqu’à midi !! – et comme une chambre d’hôtes pour l’esprit très feng shui qui caractérise les propriétaires. Sur place, agrémentez votre séjour d’un joli cours de cuisine concocté par la chef Laure Fuhrman, à la personnalité 100 % nature, elle aussi. Aussi conviviale et inventive que sa cuisine.
Agnès Bès de BercPar Agnès Bès de Berc
(*) PAF: Paysage audio-visuel français ,- (**)UMIH : Union des métiers et des industries de l’hôtellerie
(***) Président de la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires

LA CONFRÉRIE DES CHEVALIERS DU TASTEVIN DÉVOILE LES MAJORS DU TASTEVINAGE 2017

LA CONFRÉRIE DES CHEVALIERS DU TASTEVIN DÉVOILE LES MAJORS DU TASTEVINAGE 2017
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Le TASTEVINAGE célèbre cette année sa 100ème édition. À cette occasion, la Confrérie des Chevaliers du Tastevin a souhaité faire évoluer son image avec une identité revisitée, un nouveau verre de dégustation et la création des Majors qui distinguent désormais les « coups de coeur » du jury.
Les dix-sept Majors du TASTEVINAGE 2017 ont été dévoilés au cours d’une soirée dégustation organisée jeudi 16 novembre au Château du Clos de Vougeot. La cérémonie des MAJORS a officialisé la distinction suprême des coups de coeur du jury de la 99ème séance  et de la 100ème séance (29 septembre 2017) en présence de professionnels de la filière vin, restaurateurs, sommeliers, représentants des antennes internationales de la Confrérie et acheteurs.
Dans sa quête de l’excellence, les Majors marquent une nouvelle récompense visant à célébrer le savoir-faire et la qualité des vins des lauréats primés du sceau du TASTEVINAGE.
Tastevinage Majors 2017 - 2
Les Majors du TASTEVINAGE 2017 sont :
1 • CRÉMANT DE BOURGOGNE – BRUT BLANC CHARLES RANVILLE
2 • BOURGOGNE HAUTES-CÔTES DE NUITS – BLANC 2016 – DOMAINE MANUEL OLIVIER
3 • MONTAGNY 1ER CRU LES COÈRES – 2016 – DOMAINE FEUILLAT-JUILLOT
4 • CHABLIS 1ER CRU MONT DE MILIEU – 2015 – MAISON SIMONNET-FEBVRE
5 • CHABLIS 1ER CRU VAILLONS – VIEILLES VIGNES – 2015 – DOMAINE GUY ROBIN & FILS
6 • SAINT-AUBIN 1ER CRU – 2015 – DOMAINE DU PIMONT – MAISON CHANDESAIS
7 • MEURSAULT PERRIÈRES 1ER CRU – 2015 – DOMAINE ALBERT GRIVAULT
8 • BOURGOGNE ROUGE – CUVÉE BARON DE COULANGES – 2015 – VAL DE MERCY GRANDS VINS
9 • BOURGOGNE HAUTES-CÔTES DE BEAUNE ROUGE – VIEILLES VIGNES 2015 – DOMAINE CLAUDE NOUVEAU
TASTEVINAGE
LA CONFRÉRIE DES CHEVALIERS DU TASTEVIN
DÉVOILE LES MAJORS DU TASTEVINAGE 2017
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2017
10 • MOULIN-À-VENT – LES GRÈS ROUGES 2015 – VILLA PONCIAGO
11 • RULLY 1ER CRU MOLESME – 2016 – CHÂTEAU DE RULLY- ANTONIN RODET
12 • MERCUREY 1ER CRU – CLOS L’ÉVÊQUE 2015 – DOMAINE BELLEVILLE
13 • SANTENAY 1ER CRU – GRAND CLOS ROUSSEAU 2015 – DOMAINE NICOLAS PÈRE & FILS
14 • NUITS-SAINT-GEORGES 1ER CRU – LES CHABOEUFS 2015 – DOMAINE ALAIN-MAURICE GAVIGNET
15 • VOUGEOT 1ER CRU – CLOS DE LA PERRIÈRE 2015 – DOMAINE BERTAGNA
16 • CLOS-VOUGEOT GRAND CRU – 2015 – DUFOULEUR FRÈRES
17 • CLOS-VOUGEOT GRAND CRU – VIEILLES VIGNES 2014 – DOMAINE FRANÇOIS LABET
La cérémonie des MAJORS du TASTEVINAGE s’inscrit dans le calendrier de la Vente des Vins des Hospices de Beaune, en guise d’ouverture des festivités de la plus ancienne vente de charité.
LE NOUVEAU VERRE DU TASTEVINAGE
Le changement s’opère également sur les tables de dégustation. Le jury a dégusté lors de cette centième édition avec le nouveau verre du TASTEVINAGE, création originale et raffinée, imaginée exclusivement pour le label.
Adapté à la dégustation des vins de Bourgogne, le verre soufflé bouche, permet d’appréhender au mieux les propriétés organoleptiques de chacun des vins présentés. Marqué par un « design rétro-olfactif », le verre contribue ainsi à une analyse précise des vins rouges, blancs et crémants.

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